Cher Futur Moi – Saison 3 Afrique

Cher Futur Moi est une websérie d’Irvin Anneix où des jeunes de 15 à 20 ans se racontent face caméra à leur moi du futur (dans dix ans). Après la saison France métropole, puis France Outremer, l’auteur a souhaité donner une dimension internationale à Cher Futur Moi en invitant des jeunes africains à confier leurs rêves intimes et leur vision de l’avenir.

Le projet : 

Cher Futur Moi Afrique rassemble vingt participants résidant en Algérie, en Côte d’Ivoire, en RDC au Mali au Maroc et au Sénégal.

Nous partons alors à la rencontre de Karl à Abidjan, un jeune chanteur en fauteuil roulant qui rêve de devenir un grand artiste et de défendre les droits des personnes handicapées. D’Aziza, une jeune influence algéroise, qui souhaite dans 10 ans, rendre sa mère heureuse et continuer son engagement féministe. D’Audrey à Bouaké, qui s’encourage à devenir magistrate et à monter une association pour les orphelins. Ou encore de Joseph, à Kindu, qui ambitionne de devenir président de la République de la RDC pour défendre des valeurs d’égalité, de justice et d’écologie…

Tous nous partagent leurs projections, leur histoire, leur vision du monde et leurs peurs et leurs espoirs. Ils demandent à leurs « futur moi » de ne pas les oublier et dressent, en filigrane, un portrait de la jeunesse africaine et de ses rêves pour l’avenir.


La vingtaine en quarantaine

Après les webséries Mots d’ados et Cher futur moi, Irvin Anneix a réalisé avec William Meas La vingtaine en quarantaine, qui explore la crise du Covid du point de vue des jeunes adultes.

Au début du premier confinement, Irvin Anneix et William Meas réunissent via WhatsApp trente jeunes francophones confinés au quatre coins du monde pour échanger sur cette crise historique, fondatrice de leur identité future. Ils ont vingt ans et habitent à Saint-Denis, Mulhouse, Montréal, Bruxelles ou encore La Réunion.

De leur chambre, ils échangent et racontent les bouleversements positifs et négatifs de la crise sanitaire sur six aspects de leur vie : l’amitié, l’amour, la sexualité, la famille, la religion, la mort, les études …

Ils se filment chez eux, avec leur téléphone et expliquent comment la crise sanitaire a changé leur point de vue sur ces thématiques. La crise met leurs émotions à fleur de peau, autorise la parole intime et les questionnements profonds